Page:Roinard - La Mort du rêve, 1902.djvu/314

Cette page n’a pas encore été corrigée
309
LA MONTAGNE EN DÉLIRE

Le Père du Bonheur vers qui tout l’Etre aspire,
Le Père vigilant qui s’accoude au sommeil
Et console ses deuils, l’impérissable Rêve
Qui va rentrer aux cieux, ceint de gloire et pareil
Au candide soleil
Dont le miroirroseet pur, face à lui, se lève !