Page:Rohan - Les Lucioles, Calmann-Lévy.djvu/54

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Sans votre aide, puissant soutien de mon jeune âge,
Mon labeur serait vain, stériles mes efforts.
Et pour lutter encor, je perdrais tout courage !

Vous m’en avez donné ! que mes sons doux ou forts
Disent votre bonté, ma tendre confiance,
Le bonheur et l’amour et ma reconnaissance.