Page:Rohan - Les Lucioles, Calmann-Lévy.djvu/40

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Ennuyeuse maîtresse, il est temps de partir,
De passer ton chemin. En quoi m’as-tu servie ?
Ah ! je suis libre enfin de penser au plaisir !
Ah ! nous ne sommes plus deux forçats de la vie !

Parfums, enivrez-moi de vos molles senteurs !
Plus de raisonnements en ces heures jolies !
A moi tout l’univers ! à moi l’amour, les cœurs !
Tintez, petits grelots des joyeuses folies !