Page:Rodenbach - Les Vies encloses, 1896.djvu/53

Cette page n’a pas encore été corrigée

Ces dessins inachevés comme aux plis des châles
Qui ramagent encor le verre déjà noir,
Ne sont-ce pas les vieux reflets des vitres mêmes
Se projetant, se délayant, au point qu’ils font
Des fenêtres comme un aquarium sans fond ;
Ah ! tout ce qui survit dans ces armoires blêmes !