Page:Rodenbach - Les Tristesses, 1879.djvu/102

Cette page n’a pas encore été corrigée

Et savoir qu’au printemps, sous les branches des bois,
Elles tiendront encor vos pages dans leurs doigts
Qu’enserre élégamment le cercle d’or des bagues ;

Et qu’assises sur l’herbe, au rebord des fossés,
Elles prendront leur part de vos tristesses vagues
Et vous rendront les pleurs que vous avez versés !…