Page:Rodenbach - Le Règne du silence, 1901.djvu/228

Cette page n’a pas encore été corrigée


Et c’est la fin : le ciel sous de funèbres toiles
Est trépassé ; voici qu’il croule en flocons lents,
Le ciel croule ; mon cœur se remplit d’astres blancs
Et mon cœur est un grand cimetière d’étoiles !