Cette page n’a pas encore été corrigée
De qui le vol s’égrène en douloureux rosaire ;
Et je sens dans mon âme, où s’amasse le soir,
Devant ces deux témoins riant de ma misère,
Recommencer sans cesse un combat blanc et noir.
De qui le vol s’égrène en douloureux rosaire ;
Et je sens dans mon âme, où s’amasse le soir,
Devant ces deux témoins riant de ma misère,
Recommencer sans cesse un combat blanc et noir.