Page:Rodenbach - Le Mirage, 1901.djvu/39

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

HUGHES.

Maintenant je n’ose plus… j’ai peur… Tous les portraits ont l’air plus tristes… (Il a déposé la photographie sur un meuble ; il regarde le grand portrait, au mur, dont il aperçoit la vitre fendue.) Mon Dieu, qu’est-il arrivé à celui-là ? C’est Barbe, sans doute !… Je lui avais bien défendu… Quel malheur ! (Il tire le cordon de la sonnette, court à la porte, très agité.) Barbe ! Barbe ! Quel malheur !…



Scène V


HUGHES, JORIS, BARBE, qui survient, d’un air inquiet.
HUGHES, montrant le portrait.

Barbe ?…