Page:Rodenbach - L’Arbre, 1899.djvu/95

Cette page a été validée par deux contributeurs.

s’affligeait du chagrin visible de son enfant, prit peur à le voir hagard, épars, désemparé. Elle le questionna : « C’est-il Neele qui te fasse des misères ? Tu es beau, mon fils. Il y aura bien des autres filles belles pour toi. »

Joos disait très doucement : « Laisse-moi ! Ne me dis rien. » Mais il restait près d’elle, trem-