Page:Rodenbach - L’Arbre, 1899.djvu/38

Cette page a été validée par deux contributeurs.

créait dans l’air des arabesques, mystérieuses comme les lignes de la main et comme la destinée. La causerie se déroulait de même. Parfois on faisait de la musique. L’organiste de l’église, qui était parmi les assidus, touchait d’un vieux clavecin, aux notes lointaines de carillon, et le pasteur, un peu mélomane, l’accompa-