Page:Rodenbach – La Vocation, 1895.djvu/45

Cette page a été validée par deux contributeurs.

tement d’une infinité de bougies dont la flamme, à cause de la croisée ouverte, bougeait davantage, faisait ondoyer de grandes ombres sur les murs, sur le plafond de la chambre, laquelle en semblait agrandie et visitée maintenant par une foule anonyme en mantes noires qui s’agenouillait, se déplaçait…