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V



Frémy ne manquait pas d’une certaine énergie : il persista dans sa résolution. Et sa vie reprit son cours monotone.

Chaque jour, il faisait sa besogne le plus lentement possible, en essayant d’y trouver un peu de distraction. Souvent, vaincu par la chaleur de juillet, par la tristesse écrasante du bureau, mais surtout par l’ennui qu’il portait en lui-même, il s’endormait sur quelque minute. En sortant du ministère,