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mait, la scène se prolongeait ; puis la porte s’ouvrait et se refermait avec bruit…

Tout de suite, Frémy se sentait envahi de nouveau par la torture de la solitude.

Il revenait sur ses pas, passait devant les cafés-concerts dont l’illumination papillote à travers les arbres, tandis que les voix aigres des chanteurs jettent des bouffées de gaudrioles et des refrains patriotiques aux promeneurs entassés autour des enclos. Il descendait l’avenue des Champs-Élysées, indifférent aux signes des filles qui, sur des chaises louées, attendent le bon plaisir du hasard, avec des chiens sur les genoux. Il arrivait jusqu’au Cirque, dont la masse sombre se