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lable, rimait sans se décourager, lisait à son ami des fragments de son drame :
Ô Vercingétorix, chef de toutes les Gaules,
Toi qui, comme un Atlas, porte sur tes épaules
Le fardeau de la gloire et de la liberté
D’un peuple frémissant sous un joug détesté…
… — Hein, ça n’est pas trop mal, qu’en dites-vous ?… Pourquoi ne faites-vous pas de la littérature, vous aussi ?… Vous devriez : c’est un avenir…
Frémy secouait la tête :
— Merci… C’est un métier trop dur pour moi…
— Bah ! faisait le méridional, de plus en plus sûr de lui ; quand je