Page:Rod - La Chute de Miss Topsy, 1882.djvu/113

Cette page a été validée par deux contributeurs.

vie de Topsy depuis qu’il ne l’avait plus vue.

Le soir, Frémy alla au Cirque avec le bon Pellard, qui ne voulait pas le laisser seul.

Il interrogea les ouvreuses, il s’informa auprès des artistes, qui le reconnurent. Plusieurs d’entre eux avaient vu Topsy dans la journée : elle avait une jambe cassée, beaucoup de fièvre, et délirait ; sa mère était au désespoir, parlait de l’argent que coûterait la maladie, demandait ce qu’elles deviendraient toutes deux si la jeune fille était obligée d’abandonner son métier. Il était question d’organiser une souscription. Pellard offrit de lancer l’affaire dans son journal.

— N’en faites rien, lui dit Frémy