GIACOMO LEOPARDI
( D’APRÈS DES PUBLICATIONS NOUVELLES * ) Quoique empêché par la nature même de son génie de jamais devenir populaire, Leopardi a été l’objet de nombreuses et sympathiques études. Sa biographie a été plusieurs fois racontée dans toutes les langues : en français, par Marc-Monnier ; dans son livre l’Italie est-elle la terre des morts ? par M. Bouché-Leclercq ; par M. Aulard, auquel nous devons la traduction de ses œuvres principales (Lemerre, 1S80). Avant M. Aulard, M. Valéry-Vernier avait déjà traduit les Poésies (1877). Après lui, M. Auguste Dapples nous a donné une excellente traduction d’un choix des Opuscules et Pensées (1880). Enfin, tout récemment, M. Eugène 1. Lelleredi Paolina Leopardi a Marianna ed Anna Brighenti, pubblicate da Emilio Cos :a (Parme 1887). — Noie Leapardiane, par £milio Costa, (id. 1886). — Studio su Giacomo Leopardi, œuvro posthume de Francesco de Saillis (Naples, 1885). Nuovi documcnli intorno alla vita e agli scrilti di G. Leopardi, raccoltie pubblicati da G. Piergili (Florence, 1882). — Poésies de Giacomo Leopardi, traduction nouvelle, par M. Eugène Carré (Petite Bibliothèque Charpentier, 1887).
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