un couvent de pénitents en 1658. La Révolution fit de Belleville une commune et un chef-lieu de canton de l’arrondissement de St-Denis. En 1814 Belleville fut le théâtre de la lutte contre les Alliés et fut enlevé par Bliicher. Annexé à Paris en 1800. Belleville fut appelé le mont Aventin de la démocratie, et Gambetta en fut constamment député.
N° 120. Rue Lemon. (Nom de propriétaire.)
N° 118. Ancien concert du Progrès. Cinématographe parisien.
N° 108. Rue Ramponeau (1837). La partie située entre la rue de Tourtille et la rue Julien-Lacroix a absorbé, en 1884, l’ancienne impasse de Tourtille. Son nom vient de Jean Ramponeau, célèbre cabaretier du xviiie siècle qui tenait sa guinguette à la Courtille avant de s’installer en 1760 à la Barrière Blanche. Au 1, vieille maison.
N° 86. Rue Bisson. Doit son nom au lieutenant de vaisseau Bisson (1796-1827) qui se fit sauter avec son équipage pour ne pas se rendre aux Turcs. Au 42, se trouve la cité Bisson.
N° 74. Rue de Pali-Kao (1864). Faisait partie du square Napoléon avant 1877. Nom actuel en souvenir de la victoire de 1860.
N° 64. S’intitule : A mon Château.
N° 58. Ici s’ouvre la rue des Couronnes dont la notice est après le boulevard de Belleville.
N° 54. Vieille maison.
N° 42. Passage Deschamps' qui aboutit rue du Pressoir qui a été ouverte en 1843. Dans cette dernière rue nous trouvons, au 22, l’impasse du Pressoir, et au 16, l’impasse Célestin.
N° 20. Rue des Maronites (1838). S’appela rue de