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Même si ce que j’ai pu penser, en des circonstances dramatiques pour notre pays, les a choqués, je leur affirme à tous que les erreurs que j’ai pu commettre ne proviennent à aucun degré de l’intention de nuire à ma patrie, et que je n’ai jamais cessé, bien ou mal, de l’aimer. En tous cas, au delà de toutes les divergences et de toutes les barricades, les intellectuels français ont fait à mon égard le geste qui pouvait le plus m’honorer.

Fresnes, le 3 février 1945.

(signé) : Robert Brasillach.