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en faisant défoncer une allée près du Mail ; il a été aussi recueilli le long des murs du clos de ce nom, par M. Loron jeune qui le cultive. N’oublions pas de rappeler que ce Sosie végétal déjà observé à Fontainebleau, au bois de Boulogne, et dans lequel beaucoup de personnes, qui ont horreur des champignons de couche, se plaisent, par une singulière contradiction, à ne voir qu’une véritable truffe, passe pour être pernicieux aux hommes[1].


  • Lycoperdum lividum.
  • . . . . . . . . . . pusillum.
  • . . . . . . . . . . boletoïdes.

HYPOXILONS.

  • Hypoxilon radicosum.
  • Sphœria granulosa.
  • Stilbospora ovata.
  1. M. Adolphe Brongniart m’a cependant assuré que la véritable truffe (Lycoperdon tuber) se trouvait aux environs de Paris ; mais elle est facile à distinguer de la fausse (Lycoperdon cervinum), avec laquelle les marchands la mélangent, dit-on, aujourd’hui, par sa couleur extérieure noirâtre, et surtout par son odeur sui generis.