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Il est un site de la forêt qui en donne, selon moi, une idée très juste ; c’est celui qui se
- Lœtus in aërios viblanda transferor hortos,
- Rapit serena me tocorum amœnitas.
- Lœtus in aërios viblanda transferor hortos,
vers, dédiée au dauphin, et commençant par ceux-ci :
Près des murs qu’arrosé la Seine,
S’élève un mont fameux que domine la plaine :
II est couvert d’un bois dont les épais rameaux
Dérobent au soleil leurs ombrages tranquilles,
Et, dédaignant de rustiques hameaux,
Commande avec orgueil à la reine des villles.
Ces coteaux ombragés d’arbres impérieux,
Dont flotte au gré des vents la verte chevelure,
Et semble mêler sa verdure
Avec le vif azur des cieux ?