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CONTES POPULAIRES KABYLES

grimpa sur la poutre du faîtage, rejeta la peau de la jeune fille et fuma du tabac ; quand il eut fini, il secoua les cendres dans le trou à poudre ; l’ogresse et ses filles furent consumées. Au moment de mourir, elle dit à Amor : « Rends-moi la vie, ô Amor, je t’enrichirai si Dieu t’enrichit. » Mon histoire est finie, mes ressources ne sont pas épuisées.