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La lumière de ton miroir
A reflété mon désespoir
Et les glauques frissons du soir.

Redis-moi le divin mensonge
Où chaque soir mon être plonge,
Comme en l’abîme d’or du songe.

Ah ! rends-moi les mauvais baisers
Qui frémissent, inapaisés,
Parmi les lents sanglots brisés !