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Rythme dans la Forêt


Viens, nous irons vers la Nature,
Les abîmes et les forêts
Dont se crispe la chevelure,
Et vers l’automne aux longs regrets.

L’ombre, qui voit les lourdes fièvres
Se ralentir et s’apaiser,
Me verra boire sur tes lèvres
Le soupir profond du baiser.