dans son genre. Esprit, mechanceté, artifice, invention, chemin, ragoût diabotique.
DlABOLIQUEMEffr, aéTerb*. D’une manière iltaboliqae , d’une manière eKce*M ▼entent oitrliantc.
ttlABOTANlîM, «. m.^ T. Je |*hiirni. Jiu d’heibe ; emplâtre Irè»oaipo »é, ré-olatif t (bnilaot.
DIABROSE. », r. T. de ««. f’orro»ion d’une partie du oorps |«roJiiiie par une liuiarur acte ou l*..r rappiication de luMicâitttola -«iii.brotit|uc9.
DlARâiOTIQUE , adj. des d. |. et ». m. T. de méd* Qui produit la diabrb^e.
DIACADMIAS , t. w. T. de Itîiârin. Emplitrc ou 11 entre de la «àulmie.
DIACALCtTEOS , *. m. T. de pharm. EmpUtre de calcite, d’baile et H’axonge.
DIACALUTEOS, ». m. T. de pharm. Eroplfitre pour le cancer.
DIACANTHK, ». m. T d’Iùnt. nat. PoÏAtoa de mer du genre boloreotre.
DIACARCINOS, ». m. T. de mcd. Antidote d^écrcviase» contre la ra^e.
DIACAÎITHAME, ». m. T. de pharm. Electuaire pnrgatlf dau» lequel il entre des «emences de cartbame.
DIACATHOLICON, s. m. T. de pharm. Electuaire purgatif universel. Inus.
DIACAUSIE, ». r. T. de méd. Chaleur excesaiire ; échauflfrment.
DlACAUSTlQt E , adj. dr» d. g. T. de géom. et d*opt. Caustique par réfraction.
DIACHALASIS, ». f. T. de naéd. Séparation de» o» d" crfine.
DIACHALCITEOS, ». m. Tores OiaCALCITBOS.
DIACHISME, ». m. T. de nu». Intervalle d’an Bcmi-too.
DIACHVLOIV, ». m. T. de pbann. Emplitrc de mucilages.
DIACO, s. m. Chapelain de l’ordre de Malte.
- DIACODE, s. m. T. de pharm. Sirop de têtes de pavot blaoc.
DIACOLOCY^THIDOS, •. n. T. de pharm. Electuaire drastique dont la cotoquinte fait la base.
DIACOMMATIQUE, adj. et s. f. T. de mus. Trannitivn harmonique pendant laq^uelle une note rooute et descrnd d*an comma ; ce genre de musique.
DIACONAL, LE, adj. Qui appartient â Tordre , aux function» on diarre ; qui y a rapp’trt.
DIACONAT . ». m. Le aecood des or Ire» farrc».
niACOXESSK, a. f. Dana b primitive église , («lie ou veuve dewtinée à crriaia* miaist&rcs.
DIACUME, a f. Dans la primitive église , offire de diacre , de diacnncMc. — Bénéfice pq^»éJé par un di«crr.
DIACONIQUE, s. f. Autrefois, sacristie.
DIACOPÉE, s. f. T. de chir. Incision au crâne par un instrument tranchant. Inus.
DÎACOPRÉGIE, ». f. T. de| pharm. Médicament composé de lien te île chèvre. Inus.
DIACOL’STIQLE,». f. Tbénrie de» »ons el de leur réfraction.
DIACRA.MFN.NE , adj. f T. d’anst. Il »e dit de la mâchoire infétirure.
DIACRE , s. m. C^ui qui est promu an diaconat.
DIACYDONITE, adj. des d. g. T. de méd. Il se dit des médicaments oit il entre de» coins.
OIADELPHES, adj. f. pL T. de bot. U se dit de* ctaïuincs réunie» en deux corp* par les filets.
DIADELPBIK, s. f. T. de bot. ClssM de» piaules à deut étamines réunies.
DIADELPRlQUE.adj.desd. g. T. de bot. Dont les étamines snni diadelpbes.
DIADÈME, s. m. Bandeau rojal , et fig. , la ro}au(é. L’/vlal du diadème et cent roit pour atfux tWshonorent maûmnine et bienent tt>us tes jeux. ( nac. ) — Orormeni de télé pour le» femmes , en forme Je diadème. — T. d’bi»t. nat. Coquille du genre patelle.
DIADÈME, F.E, adj. CVint du diadème. Tête tiiadtnvre, — T. de bias. Ai^le diad4nu, qui a un petit cercle sur la tête.
DIADÈXF, s. r. T. de bot. Algue.
DIADOCHE , s. f. T. de méd. Changement d’une maladie en une autre qui en di0%re par sa uatnre comme par son «iét e.
DIAGLAUCIUM, s. m. T. de Eharm. Colljre pour les yeut, dans jqnal U entre du suc de glauduni.
DIAGNOSE, s. f. T. de méd. Connaissance qui s’acquiert par l’observation des signes diagnostiques. Inus.
DIAGNOSTIC, s. m., ou DIAGNOSTIQUE, s. f. Partie de la médecine qui a pour objet la distinction des maladies.
DIAGNOSTIQUE, adj. des d. g. T. de méd. Il se dit des signes à l’aide desquels on reconnaît le caractère propre d’une maladie.
DIAGONAL, LE. adj. des d. g. T. de roaib. Qui appartient k la diagonale.
DIAGONALE, ». et adj. f. T. de math. Ligne qui va de Tun des angles d’une figure rcctiligne k l’angle
^ÏSaGONALEMENT, adr. D’une manière diagonale.
DIAGRAMME , s. m. T. de géom. Construction de lignes servant à une démonstration. — T. de mns. Table de Tétendne des tons ; échelle, ,ami$tt , clavier. -- T. dlli^t. nat. espèce de persè^e.
DIAGRAMMISME , ». m. Espèce de jeu de dam«» grec.
DIAGRÈDE. s. m. T. de pharm. Srammooée préparée avec du coing, du soufre. Inus.
piAUEXAPLE , a. m. T. de méd. véi. Breuvage à aix ingrédiens pour le» cbrvaua.
DIAIRE , adj. r. T. de méd. Fiim dimir» , q« m dure qu’oa jour, éphémère.
DIAL-BIRD, s. m. T. d’hist. nat. Merle des Indes.
DIALECTE, s m. Idiome ; langage d’un pays, d’une ville, dérivé de la langue nationale.
DlALLCTICIl-N. s. m. Celui qui sait, qni cu»cignr la dialectique ; homme qoi rai»unae bim.
DIALECTIQUE, s. f. Partie de la logique qui discute les opinions, les balance, les oppose, en lait ressortir le vrai ou le faux, art de raisonner avec ordre et justesse.
DIALECTIQthMENT, adv. S»-Ion Ie4 furmes tliale«’tique» ; eu dialecticirtt ; luaiqncment.
DlALEIPYnE,s. r. T. d< méd Fièvre in.ermiUcotc.
DIALELLE , s. m. Argamcot drji pyrrlioaiens.
DlALl, s. m. T. d« bot. Arfai« des ludr».
DIALLAGE, s. m. T. d’bist. nat. Pierre lamellcnae k joiuU diffcrentt.
DIALOGIQUE , adj. drs d. g. En forme de tlialogue.
DIALOGISEK , V. a. MeUra ca dialogue ; faire des dialoguaa. /nu*. DiâLooiSK, ta, part.
DIALOGISMF. s. m. Art du dialogue ; emploi de a«a formrs.
DIALOGISTE, s. m. Celui qui fait un dialogue, Inus.
DIALOGUE, ». m. Entretien entre deux ou plusiriu-s perMmoe». Écoute-moi , sans ta$it Je dialogue. { La Font. ) — Ouvrage de liliérature en forme Je dialogoe. l** Dialueues de Lucien. - Manière dont s^énoncent lei* personnage» dramatiques. — T. de mu<. Chant, compoftitioa à deux partie» qoi s* répondent.
DIALOGUÉ, EE, adj. En dialogne. Discours dialogue.
DIALOGUER, v. a. Mettre en dialogue ; faire parler des interlocuteurs dans un ouvrage d’esprit. Il entend ce que personne n’entend ; c’est l’art de dialoguer. (Volt.)
Dialogué, ée. part.
DIALOGUEUR, s. m. Homme verbeux, Inus.
DIALTHFE . ». f. T. de pbar«a. Onguent dont la ba»e est le mucilage de guimauve.
DIALYSE . s. f. Caractère plaeé flur deux vovelle» pour les diviser en deux syllabes.
IMaMANT, s. n. Pierre préei««* la plus fine , la plus pare , la plus dure, la plus bnllanle , la ptus posante de lontea les matière» connues, la plu» précieuse de toute» le» matières que le» homme» sont convenus d« faire servir k la reprc* aewiation du luxe el de Topnlenee ; carboaa pur ; pierre cpi lui ressemble. Et sans m fier a l’or l’éclat des AimmunU... (Boil.) ^Diamant rosette ou rose, taillé a bcelta» parde »«na et plat par-dr*sous ; dtatnant brillant, taillé a facettes p<r-de»»B» et par-dcMous. — T. J’ori» et méU Ce qui est Uillé k facettes ; outil de tireur d’or. — T. de vitr. Petit in« strumeat pour conper le verra. —
