leur rudesse ; nous l’avons connue : elle était bonne, charitable et très affectueuse pour ses nombreux amis.
Elle eut une seule fille, qui mourut jeune et s’était mariée deux fois ; celle-ci laissa elle-même une fille, que sa grand’mère affectionnait beaucoup.
Mélanie Waldor a publié :
L’Écuyer Auberon (1831) ; Le Livre des jeunes filles (1834) ; Poésies du cœur (1835) ; Heures de récréation (1836) ; La Rue aux Ours (1837) ; Pages de la vie intime (1839), 2 volumes ; L’Abbaye de Fontenelle (1839), in-18 ; Alphonse et Juliette (1839), in-18 ; L’École des jeunes filles, drame en 5 actes (1841) ; La Coupe de corail (1842), 2 vol. ; André le Vendéen (1843), 2 vol. ; Le château de Rambert (1844), 2 vol. ; Charles Mendel (1846) ; Les Moulins en deuil (1849), 4 vol. in-18 ; La Tirelire de Jeannette, comédie-vaudeville (1859), jouée à l’Ambigu.
Madame Waldor a ensuite écrit dans la Patrie et dans différentes revues sous la si-