plus nobles et de plus avancés que nous, plus capables d’amour et de foi créatrice !
« Grâce à Dieu, déjà sur notre terre quelles nobles et splendides beautés ! quels anges visibles envoyés de Dieu pour parler à nos âmes, et pour ouvrir nos cœurs ! Que seront donc ces beautés plus grandes et plus nobles ? » (Lettres sur la Religion).
Lisez dans Madame Penquer : Un beau jour ou le 16 septembre, et vous verrez en effet que nul n’est plus capable d’amour et de foi.
LISTE DES OUVRAGES :
Chants du foyer, 3e édition, 1864, Didier, Paris.
Révélations poétiques, 1866, Didier.
Velléda, poème, 3e édition, in-18, 1887.
L’Œillet rose, comédie.
Retrouvé dans le Parnasse contemporain : Mes Nuits, 1891, œuvre posthume publiée pieusement par Mme Willotte, fille de Mme Penquer (Lemerre, Paris).
Le magnifique poème de Velléda est véritablement une révélation ; il émane d’une nature