Page:Rimbaud - À Douai et à Charleville - lettres et écrits inédits, 1927.djvu/14

Cette page n’a pas encore été corrigée

Nous soussignés, membres de la légion de la garde nationale sédentaire de Douai, protestant contre la lettre de monsieur Maurice, maire de Douais portée à l'ordre du jour du 18 septembre.

Pour répondre aux nombreuses réclamations des gardes...