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PARFOIS, AU FOND DE LA NUIT…
Parfois, au fond de la nuit,
le vent comme un enfant s’éveille.
Tout seul il marche dans l’allée,
doucement, doucement, vers le village.
À tâtons, jusqu’à l’étang il s’avance
et y fait le guet :
les maisons sont toutes blanches,
et les chênes, muets.