Cette page a été validée par deux contributeurs.
elui de Languenau écrit une lettre, tout absorbé.
Lentement il moule de grands
caractères, sérieux et droits :
Ma bonne mère,
soyez fière : Je porte l’étendard,
soyez sans souci : Je porte l’étendard,
aimez-moi bien : Je porte l’étendard…
Puis il serre la lettre dans sa tunique, à l’endroit le plus secret, auprès de la feuille de rose. Et pense : Elle en sera bientôt parfumée. Et pense : Un jour quelqu’un la trouvera peut-être… Et pense : … ; car l’ennemi est proche.