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le pauv’ mat’las à grands carreaux
ousque l’on chiale, ousque l’on crie,
quand qu’on est malade ou blessé ;
et souvent ousqu’on en finit,
quand qu’on a ben crevé sa vie
et qu’on n’est pas tourné rentier...


Badadang boum ! D’zing badadang !


V’là les z’outils, v’là la vaisselle,
les grapeaux roulés, les lampions
pour fêter la Révolution ! !


Et couronnant l’ château branlant
par des cord’s et par des sifelles,
voilà des chromos « artistiques »,
la tronche aux divers Preuzidents
qu’ont « honoré la République ».