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Ouvrier mon frère, Ouvrier ;
crois que ma parole est profonde.
Avant de dominer le monde
commenc’ par te laver les pieds.
Et pas seul’ment qu’ les trottignolles
mais encor ton gniass’ tout entier :
les crocs le cul les roubignolles
que t’ as tendance à oublier.
Car, sous prétexte de labeur
tu thésaurises ta sueur
et la crasse de ton métier,
Ouvrier mon frère, Ouvrier,