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Et c’est à présent qu’y voit clair.
— « Bon dieu d’nom de dieu d’salop’rie !
Ya donc pas assez d’malheureux
Qui chinent et peinent sur la Terre ?
(Vrai, en c’moment, s’il le pourrait,
Y s’bottrait Icul avec plaisir.
Mais quoi c’te judass’rie d’Nature
Qu’est toujours pus marioll’ que lui.. )
Alors en songeant à tout ça,
Sans pourtant ben se l’esspliquer,
(C’est ben trop difficile pour lui)
Ses idée’s s’brouillent, son cœur se gonfle
Et son front ridé dans les mains
À tourner, r’tourner son malheur,
Tout d’un coup jaillit sa douleur
Su’ sa pauv’ gueule en deux ruisseaux...
