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Devant ce foyer déserté
L’ travailleur se sent.... embêté.
Seul’ment... y veut pas qu’on y en cause
Bon dieu d’nom de Dieu d’un tas d’choses !
Voilà l’ moment d’bouffer un peu ;
Y n’a pas ben faim l’Ovréier,
Mais quoi c’est l’usag’, c’est l’instant !
Sa jigi fouille au plat et l’sert
Eun’ ratatouille à pomm’s de terre
Et tous deux sans s’causer encore
Masliqu’nt, lapp’nt, loufent, tortorent.....
Ça sent la..... zut et les lilas.
Le balthazar est vit’ fini,
La Négresse envahit l’ logement,
L’Ovréier s’dit : — « Cré nom de dié
Quoi que j’vas fout’ ed’ ma soirée ?