Page:Rictus - Doléances, 1900.djvu/70

Cette page n’a pas encore été corrigée

Ah ! là, là vrai si vot’ mason,
Vos lève-arpions, vot’ log’, vos chiottes
Sont aussi noirs que votre cœur
Qu’est encrassé de mufflerie,
J’me permets d’ plaind’ vos locataires
C’que ça doit chlipotter chez vous ! »

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Patatras ! Alorss la pauv’ vieille
De fureur devenu’ groseille
S’est affalée en grimaçant.

(D’pis trente ans qu’a gardait sa loge
On y avait jamais fait d’éloges
Et j’venais d’y causer un coup d’sang.)

J’aurais pas cru qu’ça s’f’rait si vite
Quiens !! j’ai pas attendu les cierges,
Vous pensez si j’m'ai fait la fuite.