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nivôse
Et je pleure en songeant à mes anciens naufrages,
À mes espoirs, à mes bonheurs, à mes courages
Dispersés, engloutis, noyés je ne sais où ;
Et dans la cheminée où rôtit ma pantoufle,
Le vent, le triste vent, souffle comme un vieux fou,
Si triste, qu’on croirait ouïr son dernier souffle.