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Tant mieux si ces chansons, âpres, aigres, pareilles
À des hennissements parmi des bruits d’essieu,
Font grincer la mâchoire et saigner les oreilles
Aux fils des Aryas, ces inventeurs de Dieu !
MARCHES TOURANIENNES
I
Toujours, par monts et vallons
Nous allons
Au galop des étalons,
Toujours, toujours, à travers
L’univers
Aux espaces grands ouverts,
Toujours, toujours de l’avant.
En buvant
La liberté dans le vent.