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étant de quart


Mais toi, mer, à quoi bon gonfler ta gorge brune ?
De l’astre qui te fuit tes beaux seins méprisés
Se soulèvent en vain vers les lointains baisers
De la lune.

Heureux le simple cœur qui va cherchant fortune
Avec des rêves sûrs d’être réalisés !
Il est joyeux ainsi que ces oiseaux posés
Dans la hune.

Moi, j’ai, comme la mer gonflant sa gorge brune.
D’impossibles désirs, des vœux inapaisés,
Et je prodigue aussi d’inutiles baisers
À la lune.