Pour les vieux tendeurs qu’assomme
Une ronfle à grippart,
On s’ camoufle en p’tit jeune homme,
En tant’ figne-à-part.
Quand l’ pant’ a l’ doigt dans la miche,
S’i’ n’ casque pas gros,
Gare au bataillon d’ la guiche !
C’est nous qu’est les dos.
Si nos doch’ étaient moins vieilles,
On les f’rait plaiser.
Mais les pauv’ loufoqu’s balaient
Les gras d’ nos laisées.
Quand qu’all’ rappliqu’ à la niche,
Et qu’ nous somm’s poivrots,
Gare au bataillon d’ la guiche !
C’est nous qu’est les dos.
Bref, tout ça s’rait d’ la choquotte.
Mais c’ qu’est triste, hélas !
C’est qu’ pour crever à coups d’ botte
Des gens pas palas,
On vous envoie en péniche
À Cayenn’-les-eaux.
V’là dans l’ bataillon d’ la guiche !
Comment craps’nt les dos.
Vous savez, la p’tit’ coterie,
L’ couplet d’à côté,
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gueux de paris