Page:Richepin - La Chanson des gueux, 1881.djvu/120

Cette page a été validée par deux contributeurs.
83
gueux des champs


Quand j’ai sifflé litre ou cruche,
Ma cervelle est en mic-mac ;
Bourdonnant comme une ruche,
Mon sang fait tic-tac tic-tac.
Alors je descends au bac
Où chante quelque faraude
Qui me prend pour son verrac.
Je suis le bon gueux qui rôde.

envoi

Prince au cul bleu comme un lac,
Cogne dont l’œil me taraude,
Pique des deux, va ! Clic, clac !
Je suis le bon gueux qui rôde.