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gueux des champs

Ah ! ah ! personn’ sait c’ qu’il fiche
Depuis qu’il roul’ par les grands ch’mins.
Oh ! oh ! p’t’ êt’ qu’il est merlifiche,
Va-trop d’ chartier, ou tend-la-main.

Mais il a la cotte et les bas
Pou’ s’ consoler là-bas, là-bas.