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nente le soin d’apporter les sanctions nécessaires, pour que l’ordre éternel, violé par la main des puissances humaines, soit rétabli et vengé. Ces sanctions arriveront à l’heure marquée. Si nous ne les voyons pas se produire, nous aurons eu une foi invincible en leur réalisation. Les crimes des nations se paient ici-bas.
De tout ce que nous avons écrit dans les trois tomes dont se compose cet ouvrage, il n’y a qu’une page, une toute petite page, que nous voudrions déchirer, et c’est la première. Nous prions tous nos lecteurs de vouloir bien la regarder désormais comme non-avenue.
Henri d’Arles.
Montréal, 15 mai 1921.