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titres. Mais j’ai trop estimé milord Arundel pour ne pas consentir à lui devoir ma subsistance ; une pension viagère de 1, 000 liv. sterlings suffit ici pour me faire vivre avec aisance. Je me la suis réservée sur ses dons ; ah ! je ne rougis point de le nommer mon bienfaiteur ! Pendant une partie de l’année, mon séjour sera dans cette maison agréable et solitaire. Les amusemens champêtres sont les seuls que je puisse espérer de goûter. Des fleurs, des oiseaux, mes crayons, de riantes promenades, des livres, des souvenirs tristes, mais chers, mais précieux à mon cœur, occuperont mes jours…… Adieu, Madame ; n’oubliez point une amie qui vous aime, vous respecte, et met au nombre de ses idées consolantes la douceur de penser que vous la plaignez ».

FIN DE L’HISTOIRE DE MISS JENNY.