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nos jouissances, après avoir frappé d’impôts les chevaux, les carrosses, le vin, les domestiques, et toutes les autres jouissances du riche, un ministre est porté à conclure que le pays est imposé au maximum ; car, en augmentant le taux, il ne peut plus augmenter le produit d’aucun de ces impôts. Il pourra cependant se tromper parfois dans cette conclusion ; car il se peut bien qu’un tel pays puisse encore supporter un grand surcroît de charges, sans que son capital soit entamé.