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dans le cœur. Vaincus par le chevalier, rendus esclaves par un regard de la damoiselle, leur chute leur paraissait méritée. Ils disaient à ses genoux, et proclamaient partout, après l’avoir quittée, qu’ils avaient dû succomber en combattant contre la vérité ; que ce n’était pas le chevalier qui avait remporté la victoire, mais la bonne cause ; et que désormais ils seraient invincibles comme leur vainqueur, car ils combattraient pour Gabrielle.