considérer comme des variations continues les uns des autres.
Elle ne demandera qu’une chose : appliquer ce code avec prudence, autant qu’il sera accepté des réalités expérimentales. Procéder à l’aide du raisonnement mathématique (et non du syllogisme), considérer par suite les phénomènes comme justiciables des lois de la quantité, puis les envisager, dans la mesure où l’expérience le rend légitime, comme homogènes, enfin accepter la norme de l’expérience et n’accepter qu’elle, voilà en quoi la réforme de la physique est bien, avec Duhem, une continuation de la physique traditionnelle. Du mécanisme traditionnel, il ne rejette que les prétentions de devancer l’expérience, d’homogénéiser les phénomènes dans le cadre de la mécanique, et de vouloir s’ériger en métaphysique.
