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REVUE POUR LES FRANÇAIS

adopté, le Conseil, sur la présentation du président, du vice-président et du secrétaire général, prononce les admissions suivantes : comme membre donateur : M. Henri Bamberger ; comme membres titulaires : MM. Racerat, le professeur Richet, Eugène Vaucher, Agache, A. Ribot, de l’Académie Française, député ; Jean Stern, S. A. le prince Roland Bonaparte, membre de l’Institut ; comme membres adhérents : MM. le comte d’Andigné, Ernest Cartier, Charles Wurts, Léon Dufour, Toutain, notaire à Rouen ; A. Diemer, Paul Deschanel, de l’Académie Française, député ; Kortz, ancien proviseur du Lycée Janson ; le Dr F. Lagrange, Cheysson, membre de l’Institut ; le président Lœw, G. Faure, Paul Mieg, adjoint au maire d’Épinal ; Émile Harlé, ingénieur ; Gros-Schlumberger et Madame Ott. Le Conseil approuve ensuite les propositions du trésorier relativement aux recouvrements de cotisations. M. de Coubertin communique des lettres de MM. Mézières et Barrès, de l’Académie Française, encore incertains relativement à leur adhésion à l’Association. Il annonce que MM. Daniel Zolla, Raphaël-Georges Lévy, Ernest Seillière, le Dr Bruyère, Cheysson, G. Hébert, Maurice Pottecher, ont bien voulu se charger de la rédaction des parties des nouveaux programmes relatives à : l’agriculture, les finances, les empires aztèque et inca, les éléments de médecine et d’hygiène, les phénomènes économiques primordiaux, la marine et la navigation, l’art dramatique à travers les âges. Ces chapitres paraîtront dans la Revue pour les Français. Après échange de vues, il est décidé de marquer d’un astérisque, sur la liste des travaux publiés par la Revue, ceux qui doivent faire partie des programmes de l’Association à un titre quelconque.

La séance est levée à 6 h. 1/2.

La Revue de l’Enseignement des Sciences qui vient de faire son apparition et dans laquelle il semble que nous puissions saluer une collaboratrice précieuse pour notre entreprise, annonce dans son premier numéro une enquête sur l’enseignement de la géo métrie qui ne manquera pas d’être fort intéressante par ses résul tats. Dans ce même numéro se trouve une lettre de M. Emile Harlé sur l’éducation mathématique des auxiliaires de l’industrie. M. Harlé y dénonce avec conviction « l’immense échafaudage de démonstrations élégantes » qui constitue l’enseignement mathé-