chien quelques expériences dont les résultats sont en faveur de cette supposition. Mais alors déjà je déclarai que je ne pouvais étayer ma théorie sur des données que je n’avais pas examinées.
Depuis, les travaux préalables nécessaires à cette difficile expérience ont été exécutés dans mon laboratoire et j’ai eu la satisfaction de les voir couronnés de succès par M. le docteur Joseph Pollak. Je puis donc aujourd’hui constater que les affirmations de Hensen et de Bockendahl sont confirmées. Les deux premières expériences nous ont d’emblée conduits à reconnaître des faits qui sont très favorables à ma théorie. Je puis donc, dès à présent, exprimer l’espoir de réussir à dissiper dans une prochaine étude l’obscurité qui entoure encore les assertions des musiciens qui ne peuvent trouver en eux les sentiments musculaires affectés à la représentation des sons sans timbre.
Traduit par E. Schwiedland.
