attribut d’une proposition affirmative ; il doit donc être particulier dans la conclusion ; partant celle-ci doit être particulière. — C’est encore une application du même faux principe.
3e Règle : Si una praemissarum neget, sit major generalis.
Enfin, nous tenons une règle sûre. D’après la règle Pejorem…, la conclusion sera négative, et le grand terme y sera universel. Mais le grand terme est sujet dans la majeure, et doit y être universel comme dans la conclusion. Il faut donc que la majeure soit universelle.
Et maintenant, faut-il admettre que tous les modes exclus jusqu’ici en vertu d’un faux principe sont tous valables ? Tant s’en faut. Il y a lieu de faire une nouvelle recherche des modes légitimes et des modes illégitimes, en se servant d’un autre critérium. Cette recherche fera l’objet d’une étude postérieure.