DELBŒUF. — LOGIQUE ALGORITHMIQUE 559
4** Triangles irrectangles et triangles scalènes.
B. (S = P — y) généralité. Cette relation existe entre les concepts suivants :
1° Triangles équilatéraux et triangles isocèles, car tous les triangles équilatéraux sont isocèles, mais tous les isocèles ne sont pas équila- téraux.
2° Triangles scalènes et triangles irrêguliers (c'est-à-dire non inscriptibles dans un cercle, ou dont tous les côtés ne sont pas égaux).
S° Tn3ing\es équilatéraux et tYÎdiïïgles irrectangles. . , '• .•
Le mode B a été appelé générique parce que le sujet est défini au moyen du genre (qui est le prédicat grammatical).
G. (S — X =P) spécificité. Cette relation existe entre les concepts suivants :
1° Triangles isocèles et triangles équilatéraux.
2» Triangles irréguliers et triangles scalènes.
3° Triangles irrectangles et triangles équilatéraux.
Le mode C a été appelé spécifique, parce que le sujet grammatical y est défini au moyen de l'espèce (qui est le prédicat).
D. (S = P) identité. Cette relation existe entre les concepts sui- vants :
1° Triangles équilatéraux et triangles équiangles.
2" Triangles irréguliers et triangles inéquiangles.
50. Cor. Le mode A indique qu'une partie du sujet seulement est renfermée dans l'attribut; et réciproquement, par conversion (24) qu'une partie de l'attribut seulement est renfermée dans le sujet.
Il peut présenter deux cas particuliers.
51. Cor. Premier cas, x = P'; y = S' (fig. 9).
���L'équation : S — x = P — y, devient : S — P' = P — S'. On remarquera que la relation entre S et P est la même que celle qui existe dans la fig. 5 entre S' et P. Cette relation implique que S' est contenu dans P, et que P' est
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