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REVUE PÉDAGOGIQUE

populaire ; il fut un grand ami de l’école et de ses extensions, largement ouvert à toutes les idées, mais partisan résolu de l’ordre et de la discipline.

À diverses reprises, M. Liard avait collaboré à cette Revue, il s’y intéressait, et ses encouragements nous étaient précieux. En attendant que nous puissions rappeler, avec plus de détails, ses conceptions pédagogiques, nous saluons avec un respect profond, l’éminent universitaire qui vient de disparaître, et nous adressons à sa famille, au nom de la Revue, l’expression la plus sincère de nos condoléances.

R. S.